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Collectif de soutien aux victimes EHS/MCS menacées sur leur lieu de vie.

Le Docteur Yves Couvreur dénonce le harcèlement électromagnétique et en réseau

Publié le 17 Octobre 2023

Nous mettons en ligne cet article paru sur le site Profession Gendarme à propos du harcèlement électromagnétique. De nombreux EHS militants en sont victimes depuis des années, les témoignages convergent avec les lignes qui suivent. Ces officines très structurées trouvent leurs relais locaux auprès tant des bureaux de postes que des guichets de banques, des voleurs de poules aux petits casseurs, des petits élus aux grands maîtres, du petit artisan au gros actionnaire, du haut fonctionnaire à l'attaché territorial... A la hauteur des ambitions mortifères de l'Agenda2030.

Le Dr Belge Yves Couvreur, connu pour ses positions contre la plandémie covid et les injections associées sensibilise le public à un phénomène occulté mais qui concerne l’entièreté de la société : le harcèlement électromagnétique et en réseau (Gang Stalking).

C’est une forme de criminalité d’état qui est prévue de monter à la hausse suite à la montée des contestations générales. Des civils enrôlés par le renseignement ainsi que des armes électromagnétiques et psychotroniques sont utilisés.

Les signes d’un harcèlement en réseau sont la traque piétonnière ou automobile avec comportements étranges (regards menaçants, allusions à votre vie privée et signes de la main), sabotage de biens (véhicule, maisons etc.), piratage, harcèlement administratif, policier, judiciaire, professionnel et de voisinage, interception de courriers, intrusions à domicile et cambriolages, tapage et dans de rares cas empoisonnement et agressions physiques.

Les signes d’un harcèlement électromagnétique sont : fatigue intense soudainement, problèmes cardiaques soudains, insomnies, réveils nocturnes avec ou sans sueurs, problèmes cognitifs (perte de mémoire et de concentration), spasmes, électrochocs, douleurs intenses, acouphènes douloureux, migraines et beaucoup d’autres. Des attaques psychotroniques peuvent également se produire avec psychoses et paranoïa induites ainsi qu’hallucinations auditives oppressantes, cauchemars synthétiques et instabilité émotionnelle. Dans de rares cas des « cybermeurtres » avec AVC, crises cardiaques et cancers induits peuvent être causés. Les antennes relais et satellites sont à la source de ce harcèlement avec également des appareils mobiles qui émettent des micro-ondes (énergie dirigée) à la portée de malfaiteurs

Il a recueilli plusieurs témoignages pour valider la souffrance de ces victimes souvent redirigées injustement vers la psychiatrie et a subi des menaces et intimidations suite à ses investigations sur ce sujet.

Devant ce scandale le plus important est de ne pas céder à la peur, même si l’on est ciblé et que l’on subit ces harcèlements depuis des années. Il ne faut pas s’isoler mais se regrouper (en faisant le tri car des harceleurs peuvent se faire passer pour victime) et dénoncer cette criminalité collectivement pour espérer y mettre un terme.

Vidéo n°1 : introduction du Dr Yves Couvreur

https://crowdbunker.com/v/7bc4J1nJKg

Vidéo n°2 : premier témoignage

https://crowdbunker.com/v/zBDDxDKq2R

Vidéo n°3 : second témoignage

https://crowdbunker.com/v/JFnw3bUEjd

 

Article original : https://www.profession-gendarme.com/le-docteur-yves-couvreur-denonce-le-harcelement-electromagnetique-et-en-reseau-gang-stalking/comment-page-1/#comment-643239

Commenter cet article
N
A noter que le site Profession Gendarme n'est pas la source d'origine de cet article et qu'il ne cite même pas son auteur Ozler Atalay.<br /> https://nouveau-monde.ca/le-docteur-yves-couvreur-denonce-le-harcelement-electromagnetique-et-en-reseau/<br /> Ça n'est pas très grave même si ça manque d'élégance... <br /> <br /> L'important est que le plus grand nombre prenne conscience de ce sujet méconnu.<br /> Par contre, bien que ça ne soit pas intentionnel, un passage pose problème puisqu’il participe de la psychiatrisation des victimes :<br /> <br /> « Des attaques psychotroniques peuvent également se produire avec psychoses et paranoïa induites ainsi qu’hallucinations auditives oppressantes »<br /> <br /> Parler d’hallucinations auditives n’est pas le terme adapté aux victimes des technologies Voice To Skull.<br /> Elles entendent réellement ces voix et ces sons, qui existent et sont transmis par des émetteurs électromagnétiques soit vers leur oreille interne soit vers une zone du cerveau appelée « aire de Broca » suivant la technologie utilisée.<br /> Il ne s’agit pas plus d’une hallucination auditive que quand vous recevez un coup de téléphone.<br /> <br /> De fait, on ne peut pas non plus parler de psychose ni de paranoïa, il s’agit de réactions normales face à des menaces et du harcèlement.<br /> <br /> Mais vu de l’extérieur par des témoins qui ne connaissent pas l’existence de ces dispositifs, ces personnes paraissent folles, et c’est d’ailleurs l’un des buts de ces programmes.
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Bonjour No_bOdy,<br /> Effectivement, il est regrettable de ne pas avoir un lien vers l'article original. PG fait de son mieux, et c'est déjà énorme considérant les sujets que ce site si particulier abordent.<br /> Et oui, tout ce qui touche au "psy" nous alerte toujours en tant que EHS. Personnellement, j'ai eu le même sursaut que vous, la même relecture, et conclusion. Mais ayant fait l'expérience de cette petite voix dans la tête, - et dont on ne doit, ni peut, parler - , claire et distincte et aux propos hors propos, la description faite m'a paru juste, au sens strict. J'ai d'ailleurs consulté plusieurs psy à l'époque, sans eux, j'aurais peut-être dévissé.<br /> J'ajoute, que les EHS, enferrés dans la culpabilité induite par le traumatisme, en oublient ou dénient ce trauma. Les asso, et leurs pseudos comités scientifiques ont omis de nommer ce trauma : "stress aigu", voir "stress post-traumatique". Pourquoi ? Pour éviter tout risque de psychiatrisation ? Non, je n'y crois pas. C'est ainsi qu'on été passés sous silence les nombreux suicides d'EHS connus de nos réseaux. Car, attention, il ne faut pas parler de psy, bref, nous allons jusqu'à nier notre propre nature d'être "souffrant". <br /> Certains EHS revendiquent maintenant un statut de "malades", pour une meilleure prise en charge. Nommer cette "souffrance", dont nous parle l'ANSES dans son dernier rapport se suffit en soi pour une reconnaissance - comme le burn-out qui ouvre des droits...<br /> Le sujet est délicat, mais il était temps de l'aborder, il n'y a pas de demie vérité. <br /> Bien à vous. <br /> Colas DIALLO.